sábado, 15 de marzo de 2014

JEAN-FRANÇOIS LYOTARD : LE SENTIMENT SUBLIME

Le sublime est avant tout la condition négative, ne vont pas à la forme ou à l'imagination. Le sentiment sublime est l'impression d'une pensée, un désir illimité sourd. Il apparaît comme quelque chose de brusque et sans avenir. «Est-ce un étrange sentiment que quoi que ce soit, même longue ou sans forme, peut provoquer un plaisir étrange valeur ou la sphère se»[1] .

Le sentiment sublime est une acceptation immédiate de ce qui est donné ; pathos, une passion. C'est un sentiment de contestation, double sens de terreur et d'exaltation. Le sublime vaut contre la terreur de privation - qui ne se fait pas n'importe quoi - et le plaisir de soulagement parce que quelque chose se passe. On peut dire que l'événement du sublime est la présence de pensée et de réflexion sur la liberté.

Le «différend», selon Lyotard, également dit de désaccord, dissidence, hétérogénéité, incommensurabilité, Paradox, dissonance et est liée à la résistance. La réclamation que dans la limite de la sensation commencent rien ; Il donne un sens à des réflexions de Lyotard sur l'esthétique du sublime qui consiste à être réveillé de rien, le mécontentement.

Le différend, dans le sublime, donne un vigoureux, solide, résistant à cette esthétique. L'affect, le sublime réveille l'ánima pensée et la réflexion, contre la misère et la terreur qui pensée déjà ne pas arriver plus, éteint, étouffé par le présent.

C'est la présence de manifestation de la pensée. Le sublime témoigne de l'indéfini de voir qu'il y a quelque chose qui n'est pas déterminable. Dans le sublime, l'indéterminé et non déterminé sont appelé l'imprésentable, l'irreprésentable, l'indicible, l'inconnu, l'intraitable, inhumanité. Ces termes, le sublime est lié à ce qui n'a pas été déterminé même dans le présent et se réfère à ce qui ne devrait pas être déterminé.

Le sublime ne peut être exposé, car la raison atteint ses frontières. Par conséquent, le jugement esthétique est suspendu. Droit, ne peut pas être universalisés par le biais parce qu'elle tend à une insatisfaction exultant. Le plaisir du sublime ne peut communiquer à travers le même sentiment. «Le sentiment sublime, c'est aussi le sentiment du sublime est, selon Kant, une condition forte et équivoque : apporte du plaisir et douleur. Meilleur : le plaisir vient de la phrase»[2] .

Le sentiment sublime s'effectue moyennant respect de causalité libre. Appartient à une raison extérieure, d'un manque de forme, d'une transmissibilité différente. Le sentiment authentique du sublime, indique Lyotard, «est une combinaison intrinsèque de plaisir et de peine, le plaisir que la raison dépasse toutes les présentation, la douleur de cette imagination ou sensibilité autrement que dans la mesure du concept»[3] .

N'ayant ne pas un droit unitaire du sensible est donné, au contraire, une diffusion qui tend à se dissiper toute illusion de croix. Dans cet aspect, le sublime est l'effet résultant de la disparité avec le désir, trouve la résistance de la vertu et de passions. «La sentimentalité sublime exige en fait se dérouler, une sensibilité envers l'idée qui n'est pas naturel, mais obtenus à l'aide de la culture»[4]. C'est la manifestation et la circulation d'affects.

Le sublime est montré comme moyen arbitraire et violente qui s'impose sur l'esthétique. Reconnaît, Lyotard, dans le plus grand plaisir contemplatif de la peur, qui enveloppé dans le sublime sera rien de ce qui est. Un delve dans l'abîme de l'échec de l'imagination qui génère des craintes attrayants d'un sublime mystère caché au milieu de le œuvre d'art. Dans le sublime, vous rencontrez la grandeur de la nature comme un signe au-delà de la raison.

Nous ne pouvons concevoir assez grand, il est assez puissant, mais toute présentation d'un objet conçu pour « voir » cette ampleur ou ce pouvoir absolu nous apparaît aussi douloureusement insuffisantes. Par conséquent, ces idées ne nous donnent pas à savoir quoi que ce soit dans la réalité (l'expérience), interdire le libre accord des facultés qui produit le sentiment du beau, prévenir la formation et la stabilisation du goût. On pourrait dire à leur sujet qui sont imprésentable[5]

Lyotard désigne le sublime comme une représentation de la moche, une représentation d'une manière négative, qui cherchent à contrebalancer cette peur, cette incapacité, qui cherche à se plonger plus profondément dans l'abîme de l'échec imaginatif, «développé comme un conflit entre les pouvoirs d'un sujet, la faculté de concevoir une chose et" présenter une chose»[6] .



[1] : Jean-François Lyotard. Leçons sur l'analytique du Sublime, Stanford, Stanford University Press, 1994, p. 158.
[2] Jean-François Lyotard.Le postmodernisme (expliqué aux enfants), Barcelone, Gedisa publishing, 1996, p. 20.
[3] Jean-François Lyotard.Le postmodernisme (expliqué aux enfants), Barcelone, Gedisa publishing, 1996, p. 25.
[4] Jean-François Lyotard.Le postmodernisme (expliqué aux enfants), Barcelone, Gedisa publishing, 1996, p. 84.
[5] Jean-François Lyotard.Le postmodernisme (expliqué aux enfants), Barcelone, Gedisa publishing, 1996, p. 21.
[6] Jean-François Lyotard.Le postmodernisme (expliqué aux enfants), Barcelone, Gedisa publishing, 1996, p. 20.


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